la Coordination rurale promet le chaos

Le chaos c’est un peu la révolution du pauvre. Sans véritable vision, on peut s’engager dans la destruction de l’existant, dans l’espoir d’une résurrection bénéfique.

C’est aussi une application de la maxime « le bonheur se jauge au malheur des autres », qui explique peut-être l’acharnement des hommes à organiser la misère.

Ne croyez pas que je dénigre les fondements revendicatifs, mais le chaos… Quand même.

D’autant que cette option politique est expérimentée depuis longtemps en Haïti, par exemple. Où les plus forts, les plus violents se succèdent.

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